Le secteur de l’hôtellerie de plein air continue de séduire les vacanciers. Sa croissance de fréquentation est même ininterrompue depuis 17 ans. Des sites en plein air, la nature autour de soi, la mer et ses côtes de sable fin à perte de vue, la convivialité, ou encore le calme pour se reposer, ce sont là les critères des Français pour des vacances parfaites.
Sans oublier la présence d’activités pour se divertir ! Pour répondre à la demande, les directeurs de campings et villages vacances recrutent chaque année des animateurs professionnels. Problème, ces derniers manquent à l’appel.
Le marché de l’hôtellerie de plein air se porte bien. La France est le deuxième pays le plus consommateur de campings dans le monde après les Etats-Unis. Premier hébergeur touristique marchand en quantité de lits en France, l’hôtellerie de plein air concerne plus de 8 000 entreprises et a généré 2,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2020.
Avec une fréquentation en hausse continue depuis 2005, il semble clair que les vacanciers en profitent. Ces derniers recherchent en ces lieux la détente, le repos, la convivialité, mais aussi des activités variées.
Les dirigeants de campings et villages clubs ont donc besoin de main d’œuvre pour proposer aux vacanciers une animation de qualité. Mais ils se heurtent aujourd’hui à un constat : les animateurs professionnels se font rares. Une pénurie, alimentée par la pandémie, qui rend l’embauche difficile et met en danger les structures. Fort heureusement, des entreprises proposent leur aide pour le recrutement d’animateurs professionnels, comme Bleu Blanc Ciel.
Un métier en manque de reconnaissance
Sans les animateurs, impossible d’accueillir les clients dans les campings ou villages vacances. A l’origine du problème : la crise sanitaire. De nombreuses formations ont été annulées depuis deux ans. Le métier souffre aussi d’un manque d’attractivité qui s’explique par plusieurs points.
La saisonnalité de l’activité, des horaires atypiques, des contrats courts, une instabilité de l’emploi, un fort turnover ou encore une faible rémunération peuvent dissuader les animateurs de rejoindre une structure de loisirs. S’ajoute à cela le coût de la formation : il faut débourser entre 700 et 1 000 euros pour obtenir le Bafa (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur).
A ce sujet, l’Etat vient de mettre la main à la poche, et propose une aide de 200 euros pour passer ce brevet. Elle devrait être versée à 20 000 jeunes cette année.
La solution Bleu Blanc Ciel pour recruter des animateurs
L’hôtellerie de plein air doit aujourd’hui répondre à la demande de divertissement de ses clients tout en manquant d’animateurs pour le faire. Une situation paradoxale qui peut mettre en péril l’activité des campings ou villages vacances.
Un directeur de structure peut toutefois s’appuyer sur l’expertise de spécialistes comme les équipes de Bleu Blanc Ciel qui assureront pour lui la recherche d’animateurs. Depuis 11 ans, ce prestataire en animation touristique propose le recrutement d’équipes d’animation de qualités capables de répondre à tous les besoins des vacanciers.
Autre atout, la société dispose d’une filiale de formation qui a pour objectif d’accompagner les talents et d’améliorer les compétences : Bleu Blanc Ciel Formation qui a aussi pour ambition de rehausser l’attractivité de ce beau métier.